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Premier véritable coup de coeur de Fantasia, Love de William Eubank relate les déboires d'un astronaute dont le contact a été coupé avec sa tour de contrôle. Allégorie sur le sens de l'existence et la solitude, ce magnifique long métrage qui emprunte autant à Malick qu'à Kubrick, Tarkovski et Aronofsky est un objet hétéroclite, lent et d'une beauté plastique qui navigue allègrement sur une trame sonore hyper soignée. Parfois la prétention y est forte, mais on se laisse tout de même happer par ce flux d'énergie qui sort de l'ordinaire.
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