Entre gentils et méchants, il y a une zone qui demeure bien floue. Elle est à peine visible dans Neomanila de Mikhail Red, un exercice techniquement soigné et parfaitement interprété, mais dont le scénario brouillon montre rapidement ses limites. On embarque difficilement dans l'exercice et une fois que la magie opère, elle est brusquée par ses répétitions et sa trop longue durée. Aujourd'hui à Fantasia. **1/2
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