Longtemps censuré, White Dog de Samuel Fuller n'a toujours pas perdu son mordant, s'avérant en avance sur son temps dans sa façon de parler de racisme. Tout cela à travers le destin d'un chien qui est dressé pour tuer. Le récit trempé d’ambiguïté lorgne vers le drame horrifique, alors que la musique de Morricone est la combustion idéale d'un suspense qui prend à la gorge. On en ressort apeuré. ****
lundi 22 mai 2017
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