vendredi 21 janvier 2011

L'autre Dumas, The Way Back, The Company Men, Made in Dagenham, Une vie qui commence, No Strings Attached


Plusieurs petits films se disputent les écrans et la plupart son sympathiques sans être transcendants.

Réalisateur des intéressants Le cou de la girafe et L'empreinte de l'ange, le talentueux cinéaste Safy Nebbou propose L'autre Dumas, une fiction sur les liens entre le romancier Alexandre Dumas et son ghost writer. Mordant et intéressant, l'ouvrage vaut surtout pour le duo formé entre le monstre sacré Gérard Depardieu et l'étonnamment sobre Benoît Poelvoorde.

Donnant finalement des nouvelles après son surestimé Master and Commander en 2003, Peter Weir revient en adaptant une supposée histoire vraie d'une évasion de sept prisonniers d'un goulag russe lors de la Seconde Guerre mondiale. Des magnifiques images ne viennent pas toujours sauver ce The Way Back qui traîne en longueur. L'interprétation de comédiens talentueux (Ed Harris, Jim Sturgess) est tout de même acceptable.
Critique

John Wells signe un classique mais intéressant premier film sur la crise économique et le chômage qui touchent trois hommes d'une même compagnie. En faisant abstraction de l'horrible finale, The Company Men se suit avec intérêt, bénéficiant de la forte présence de Ben Affleck, Tommy Lee Jones, Chris Cooper et Kevin Costner.

Feel-good movie consensuel qui emprunte une thématique forte pour offrir un divertissement léger et oubliable, Made in Dagenham de Nigel Cole relate une grève de travailleuses anglaises à la fin des années 1960. Quelle chance qu'il y a la lumineuse Sally Hawkins pour relever la sauce, car l'ensemble manque singulièrement de rythme.
Critique

Premier long métrage québécois de 2011, Une vie qui commence de Michel Monty n'est ni bon ni mauvais. Bien que cette histoire de deuil qui se déroule pendant les années 1960 sente le réchauffé, la première partie captive par la présence forte de François Papineau. La suite n'est cependant pas à la hauteur.
Critique

On s'attendait tous au navet et c'est finalement pas si pire. C'est le constat qui ressort de No Strings Attached d'Ivan Reitman sur les relations entre un homme et une femme qui désirent être des amis avec des bénéfices sexuels. Dans le meilleur des mondes il faudrait sortir avant la fin qui est tout simplement moralisatrice. Mais d'ici là de bons gags feront sourire, tout comme la performance charmante de Natalie Portman.
Critique

Aucun commentaire:

Publier un commentaire