Le cinéma québécois de fiction n'est pas sur une belle lancée. Le plus récent naufrage est Pédalo de Stéphane E. Roy, qui a adapté sa propre pièce de théâtre. Du scénario pétri de clichés à l'humour d'une autre époque, en passant par une mise en scène fade et une interprétation chargée, il n'y a rien qui donne le goût de voir du pays. En salle vendredi. *1/2
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