Paolo Sorrentino aime décrire le parcours d'un personnage hors du commun en le comparant à une ville et en le suivant sur plusieurs décennies. C'est le cas de la magnifique Parthenope qui habite Naples et qui tentera de se frayer un chemin dans une société dominée par les hommes. L'ensemble n'est pas sans rappeler son chef-d'oeuvre La grande beauté. Dommage que le récit superficiel tourne à vide, un peu comme si le cinéaste italien se parodiait en offrant des images léchées évoquant des annonces de parfum. Et que dire de son regard sur son sujet, qui n'est pas toujours éloigné de celui du vieux mononcle vicieux. L'effort s'améliore toutefois dans la seconde partie et sa mise en scène demeure, comme toujours, éblouissante. En salle. **1/2
vendredi 21 février 2025
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