Il y a de magnifiques choses dans Lola, cette interlude romantique entre deux êtres perdus qui est signée Jacques Demy. Il y a cette Nouvelle Vague ancrée dans le présent qui multiplie les hommages au passé (L'ange bleue, à Ophüls). Il y a ce décalage entre ces fabuleux interprètes, l'histoire et les numéros musicaux. Et il y a cette façon de montrer que l'amour est plus fort que tout et que le rêve mélancolique se situe quelque part entre grande joie et peine amère. De quoi revigorer la confiance du cinéphile après une année de cinéma en demi-teinte. ****1/2
dimanche 28 décembre 2014
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