Le cinéaste iranien Mohammad Rasoulof (Le diable n'existe pas) a fui son pays pour présenter Les graines du figuier sauvage. Courageuse, l'oeuvre se présente d'abord comme un drame social implacable, avant de prendre la forme d'un thriller terrifiant. Face au patriarcat, la jeunesse devra bien se tenir si elle veut survivre. Le récit n'est peut-être pas le plus subtil et il traîne quelque peu en longueur, mais il s'avère puissant et essentiel. Ma critique est à lire dans la revue Ciné-Bulles. ****
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