L'amour permet tous les excès. C'est sur ces mots qu'est construit L'amour ouf de Gilles Lellouche, un film maximaliste, kitsch et boursouflé qui réserve quelques moments intéressants (notamment lorsque le groupe The Cure se fait entendre), mais surtout des longueurs tant les clichés, proéminents, sont de chaque instant, et que le divertissement clinquant tourne rapidement à vide. Quant à la réflexion pseudo-pop et machiste sur la vie, on repassera. **1/2
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