samedi 16 février 2013

Beautiful Creatures, A Good Day to Die Hard, A Glimpse Inside the Mind of Charles Swam III

Honte sur moi. De tous les films de la semaine, j'ai manqué le plus intéressant du lot: le documentaire Journal de France de Claudine Nougaret et du grand Raymond Depardon. Je vais me reprendre lors de la sortie du DVD, c'est sûr et certain. Sinon, pour le reste, il n'y a absolument rien à signaler. J'aurais été curieux de voir le suspense de la Corée du Sud The Berlin File et j'ai tout fait pour éviter Safe Heaven, mais il y avait quelques incontournables que je n'ai pas pu éviter...

Comme Beautiful Creatures de Richard LaGravenese qui aimerait bien être le prochain Twilight. Tout y est: il s'agit d'une série de livres à succès, il y a une fille mystérieuse, un humain dont tombera amoureuse toutes les adolescentes, une romance très sucrée, etc. Malheureusement, cela ressemble beaucoup à Dark Shadows de Tim Burton. Pire encore, il n'y a aucune chimie entre les deux héros. Cela va déjà mieux du côté de la distribution secondaire (Jeremy Irons y est impeccable) et les effets spéciaux sont solides, mais dans l'ensemble, il n'y a rien à signaler. **1/2

Qui n'aime pas Die Hard? Le premier est un classique et le troisième, un excellent divertissement. Le cinquième intitulé A Good Day to Die Hard est malheureusement un navet qui n'est ni potable pour ses scènes d'action ou son humour. La réalisation de John Moore est pénible à voir, les acteurs ne sont pas dirigés, le scénario est bête à pleurer et depuis quand notre flic préféré se débarrasse des méchants à l'aide d'une mitraillette? De quoi tuer une des plus belles franchises du cinéma américain. *1/2

La talent n'est pas seulement une affaire de nom. Francis Ford Coppola en a tout comme sa fille Sofia, mais pour fiston Roman, c'est autre chose. Il essaye tellement d'être branché et dans le vent avec son prétentieux A Glimpse Inside the Mind of Charles Swam III que cela en devient navrant. Cette lubie où Charlie Sheen ne fait que fantasmer sur des femmes est à pleurer. Et ni l'excellent Bill Murray ni les clins d'oeil furtifs à 8 et demi et All that Jazz ne sauvent l'ensemble du marasme. Un long métrage premier degré à prendre... au premier degré. *1/2

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