À la fois récit paranoïaque sur l'AI et drame de deuil, Dalloway de Yann Gozlan ne manque pas de sujets pertinents. Dommage qu'ils soient tous traités sommairement, avec moult poncifs et symboles primaires (notamment sur l'eau et Virginia Wolf). Car la mise en scène alerte et le jeu convaincue de Cécile de France méritaient mieux. **1/2
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