Réalisé tout juste après son excellent Quai des Orfèvres, Manon (1949) montre un Henri-Georges Clouzot plus sentimental que jamais, actualisant les écrits de l'abbé Prévost dans le contexte de la Seconde Guerre mondiale. Son parti pris, relevé à moitié à cause d'un scénario qui traîne parfois de la patte dans sa description d'un couple maudit, est magnifié par la présence lumineuse de Cécile Aubry dans le rôle-titre. On voudra s'y intéresser que pour elle. ***
mardi 4 avril 2023
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire