Nicolas Cage dans l'univers de Sion Sono, c'est le bonheur total. Et si Prisoners of the Ghostland est férocement sanglant et divertissant, la mécanique ne tarde pas à s'essouffler alors qu'elle aurait dû s'alimenter encore et encore. Reste un bonheur démentiel et grotesque qui fait un bien fou en ces temps incertains. Présenté aujourd'hui et lundi. *** Ma critique
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