Le cinéma horrifique vu et vécu par un enfant est un genre en soi. Martyrs Lane de Ruth Platt l'explore avec efficacité, sans originalité mais en misant sur la sensibilité de sa jeune héroïne et l'atmosphère de sa mise en scène. De quoi maintenir l'intérêt même si tout se devine à l'avance. Présenté aujourd'hui et samedi. *** Ma critique
L'enfance est au coeur même de It's A Summer Films! de Soushi Matsumoto, où des adolescents décident de créer leur propre film. Elle permet de rêver et de s'amurer, de croire fort en l'avenir... tout en fermant les yeux devant la naïveté du propos, son ton exubérant et cette façon simpliste de confronter cinéma d'auteur de samouraïs et comédie romantique populaire. Au moins le meilleur a été gardé à la fin. Sur demande. ***
Aucun commentaire:
Publier un commentaire