Fassbinder se prend pour Godard dans The Niklashausen Journey (1970), utilisant de longs plans pour parler de politique, de religion et de révolution. Les propos souvent stériles et parfois déclamés comme au théâtre suscitent autant de passion que d'ennui, contrairement à la riche composition de la mise en scène qui émerveille constamment par sa fluidité et ses trouvailles étonnantes. ***
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