Le Festival du nouveau cinéma débute aujourd'hui! Jusqu'au 31 octobre, au moins un film sera évalué quotidiennement. Aujourd'hui, place à...
Interdit de quitter le pays et étroitement surveillé, cela n'a pas empêché l'Iranien Mohammad Rasoulof (Un homme intègre) de réaliser There is No Evil, Ours d'Or à Berlin plus tôt cette année. Il s'agit d'un film magistral sur la peine de mort, décuplé en quatre récits qui épousent autant de courants cinématographiques différents. Complexe sans être toujours très subtil, le procédé tâte au plus profond de l'âme ce code de moralité qui sépare l'être humain de la bête sauvage, se lovant dans une noirceur éclairante. On en ressort évidemment pas indemne. ****
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