L'Internet est source de danger. C'est ce qui ressort de Disconnect d'Henry-Alex Rubin, un film choral faussement branché où le manque de communication donne des maux de tête aux humains. Le solide casting n'arrive pas toujours à prendre le dessus du récit superficiel et manipulateur, que vient appuyer une mise en scène pas toujours subtile (la finale qui mélange les ralentis à une mélodie de Max Richter n'est pas particulièrement convaincante). Mais comme Crash des pauvres, il s'est fait bien pire. **1/2
mardi 6 octobre 2020
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