Avant que Netflix détruise sa carrière, Jeremy Saulnier avait tout un parcours. Suite à son excellent Blue Ruin, le cinéaste américain a répliqué en 2015 avec Green Room, un récit de survie tendu qui n'est pas sans rappeler les classiques de Boorman et de Carpenter. Lorsqu'un groupe de musique s'isole afin de résister à des méchants, la tension ne peut qu'exploser au visage. Celle qui est accompagnée d'hémoglobine et de scènes dérangeantes. Prévisible, le récit n'en est pas moins extrêmement efficace, gracieuseté d'une mise en scène assurée et d'un casting irréprochable. ***1/2
mardi 27 octobre 2020
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