Dans sa longue et respectable carrière, Kevin Costner n'avait jamais doublé ou prêté sa voix. Jusqu'à maintenant. Mais qu'est-ce qui l'a motivé à devenir la «conscience» du chien de The Art of Racing in the Rain, un mélo imbuvable plein de sirop, de guimauves et de leçons moralisatrices? Au lieu d'être ému, le cinéphile finit par rire devant les situations manipulatrices et appuyées qui défilent devant lui. Ce n'est pas le jeu limité des comédiens et la réalisation aseptisée de Simon Curtis qui sont là pour aider. *1/2
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