Le cinéma de Jacques Doillon est parsemé de relations père/fille troubles. Cela atteint une intensité presque insoutenable dans La fille prodigue (1981), un brillant drame psychologique qui entre littéralement dans la peau tant la caméra, près des corps, ne laisse aucun échappatoire. Tout est une question d'amour et de combats entre Jane Birkin, au sommet de son art, qui s'en prend littéralement à Michel Piccoli, plus vulnérable que jamais. ****
mercredi 21 octobre 2020
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire