Deux films de genre déçoivent quelque peu aujourd'hui au FNC.
Après une série de drames puissants (le sommet étant Oslo, 31 août), Joachim Trier se tourne vers le suspense et l'horreur avec Thelma où il tente de comprendre les désarrois d'une jeune femme. Lourd, prévisible et trop symbolique lorsqu'il lorgne vers Carrie et ses explications sommaires, le film ne se matérialise que trop rarement. Il y a bien quelques moments incroyables (le théâtre!) et une prestation forte de l'héroïne, ce qui est loin d'être suffisant. **1/2
Après une série de drames puissants (le sommet étant Oslo, 31 août), Joachim Trier se tourne vers le suspense et l'horreur avec Thelma où il tente de comprendre les désarrois d'une jeune femme. Lourd, prévisible et trop symbolique lorsqu'il lorgne vers Carrie et ses explications sommaires, le film ne se matérialise que trop rarement. Il y a bien quelques moments incroyables (le théâtre!) et une prestation forte de l'héroïne, ce qui est loin d'être suffisant. **1/2
Dernier tome d'une trilogie sur l'absurdité du chaos qui ronge le gangstérisme, Outrage Coda est certainement l'épisode le moins essentiel du lot. Pas que Takeshi Kitano ne s'amuse pas lors des moments violents, bien au contraire. C'est seulement que ces scènes sont rares dans un flot de mots et une intrigue inutilement touffue, aussi répétitive que lassante. Ce brouillon est justement le coeur du propos, sauf qu'elle s'exprime ici à l'aide d'une mise en scène plus banale que d'habitude. **1/2
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