Quelque part entre l'Oeuvre de Zola et une série B maculée de sang, The Driller Killer a permis à Abel Ferrara d'établir sa réputation dans le mauvais goût et la provocation. Si cette histoire malsaine sur un peintre qui trucide des gens avec sa perceuse s'avère ultimement digeste, c'est par l'utilisation ingénieuse des moyens cinématographique et une grande liberté de ton. À vivre à la Cinémathèque québécoise. ***
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire