Le meilleur côtoie le pire aujourd'hui dans le cadre du Festival du nouveau cinéma.
Véritable baume sur ce monde parfois cruel, The Other Side of Hope d'Aki Kaurismäki est un récit essentiel sur la condition humaine, alors qu'un sans-papier tente de trouver refuge en Finlande. Dans son style bien à lui, le cinéaste pond un de ses plus grands films, enrobant mélancolie et humour pince-sans-rire au sein d'une mise en scène parfaitement millimétrée et baignée de musique, où le discours se veut porteur de sens. ****
Véritable baume sur ce monde parfois cruel, The Other Side of Hope d'Aki Kaurismäki est un récit essentiel sur la condition humaine, alors qu'un sans-papier tente de trouver refuge en Finlande. Dans son style bien à lui, le cinéaste pond un de ses plus grands films, enrobant mélancolie et humour pince-sans-rire au sein d'une mise en scène parfaitement millimétrée et baignée de musique, où le discours se veut porteur de sens. ****
Il faut toujours laisser la chance aux coureurs. Des cinéastes Hélène Cattet et Bruno Forzani, ils ont offerts l'intriguant Amer et l'irritant L'étrange couleur des larmes de ton corps. C'est malheureusement dans cette dernière catégorie que se situe leur nouveau long métrage Laissez bronzer les cadavres. Ce travail laborieux et agressant qui tente de convier à la même enseigne l'esprit de Bunuel, Godard et le western violent ne s'avère qu'un exercice de style vain et prétentieux, comme si des adolescents doués faisaient n'importe quoi pour épater la galerie. *1/2
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