Alors que sa suite prend finalement l'affiche (ma critique), revenir au Blade Runner de Ridley Scott est une nécessité. Non seulement il s'agit d'un des meilleurs longs métrages de science-fiction de l'histoire du cinéma, mais ce film noir qui emprunte autant à Moebius qu'à Metropolis s'avère une plongée fascinante dans la condition humaine. Le riche visuel est au service de l'émotion, le rythme lent qui coule parfaitement sur la musique de Vangelis permet l'osmose totale avec le sujet et c'est son ambiguïté qui rend accro, alors qu'on retourne continuellement vers cette référence qui n'a toujours pas été dépassée. *****
mardi 3 octobre 2017
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