Des trois versions cinématographiques de Journal d'une femme de chambre, celle de Luis Bunuel est certainement la plus intéressante. On retrouve son désir de brasser la cage à la bourgeoisie tout en rappelant comment l'homme vaut parfois moins qu'une bête. Entre tragédie, comédie et poésie, il donne un rôle ambiguë à Jeanne Moreau, qui semble constamment emprisonnée par la magnifique photographie en noir et blanc. ****
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