La fantaisie s'exprime différemment aujourd'hui au FNC.
Hong Sang-soo mineur, La caméra de Claire n'en demeure pas moins mignon et libérateur, alors que la caméra que détient la lumineuse Isabelle Huppert affectera le destin de quelques personnages. Admirablement filmé et écrit, le récit fait sourire même s'il tourne parfois à vide. On sent toutefois un désir de faire du neuf avec les lieux communs... et même de limiter la consommation d'alcool, ce qui rompt avec les obsessions de son créateur! ***
Hong Sang-soo mineur, La caméra de Claire n'en demeure pas moins mignon et libérateur, alors que la caméra que détient la lumineuse Isabelle Huppert affectera le destin de quelques personnages. Admirablement filmé et écrit, le récit fait sourire même s'il tourne parfois à vide. On sent toutefois un désir de faire du neuf avec les lieux communs... et même de limiter la consommation d'alcool, ce qui rompt avec les obsessions de son créateur! ***
Après une série de courts métrages remarqués, Bertrand Mandico passe au long avec Les garçons sauvages. Cette intrigante histoire en noir blanc ressemble à du Jeunet avec de la libido dans le tapis, qui mélange hallucinations, sexe et provocation facile. On se plaît toutefois à arpenter cet univers unique, qui aurait toutefois eu besoin de moins de symboles et plus de contenu. Pour de l'imagination à revendre, on se retrouve avec des comédiens inégaux et un rythme parfois défaillant. ***
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