De la qualité s'installe dans les salles de cinéma cette semaine.
Once Upon a Time in... Hollywood: En apparence, Quentin Tarantino se répète sur son nouveau film, offrant le mélange attendu de dialogues cultes, d’icônes incroyables, d'hommages attendus et de violence qui peut exploser n'importe quand. Ce serait pourtant bien mal évaluer cet immense opus. Une mélancolie latente le berce allègrement, offrant une réflexion pénétrante sur Hollywood et sa façon de traiter le réel, faisant triompher ses loosers sympathiques (le duo DiCaprio et Pitt fonctionne à plein régime). Le septième art est plus fort que tout dans ce qui est certainement son effort le plus émouvant depuis Jackie Brown. ****
C'est ça l'amour: Bouli Lanners est parfait en père aimant dépassé par les événements dans ce beau et sensible drame intimiste de Claire Burger, qui passe allègrement de l'humain au social. ***1/2
The Farewell: Rires et pleurs se retrouvent en grande quantité au sein de cet agréable choc des cultures qui, sans payer de mine sur le plan du scénario ou de la réalisation, présente une jolie palette de personnages attachants. ***1/2
L'autre histoire: Des familles doivent sans cesse se remettre en question dans ce drame psychologique potable quoique tendancieux à ses heures du cinéaste Avi Nesher, qui traite de thèmes importants sans éviter de faire la morale. ***
Le vent de la liberté: Une incroyable histoire vraie devient le sujet d'un banal téléfilm de la part de Michael Herbig, qui accentue le côté suspense (avec cette musique à la Hans Zimmer) sans nécessairement trouver ses points de repères. Au moins l'interprétation demeure correcte. **1/2
ce drame psychologique potable
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