C'est une semaine de cinéma où les émotions sont généralement à l'honneur.
Instant Dreams: Au lieu du documentaire attendu sur le Polaroid, Willem Baptist offre plutôt une réflexion impressionniste sur le temps qui passe, baignée d'images sidérantes. Une expérience sensorielle comme il s'en fait peu. ***1/2
L'incroyable histoire du facteur Cheval: Très classique dans son approche, cette histoire vraie de Nils Tavernier vaut surtout pour la prestation de Jacques Gamblin et l'émotion insoupçonnée qui déferle à la fin. ***
Duelles: Ce prévisible thriller d'Oliver Masset-Depasse ne se fait pas prier pour piller du côté d'Hitchcock, s'amusant avec ses travellings soignés et son épatant duo d’interprètes féminines. Efficace à défaut d'être très profond. ***
Wild Rose: Les clichés et les lieux connus sont nombreux dans ce drame musical de Tom Harper. Il y a pourtant la présence phénoménale de Jessie Buckley pour convaincre même les plus récalcitrants. Après Beast, il s'agit indéniablement de l'actrice à suivre de près. ***
Spider-Man: Far From Home: Les drames shakespeariens du dernier Avengers laissent place à une fantaisie ludique et comique, supérieure au précédent Homecoming du même Jon Watts. De quoi passer un bon moment... même si le tout sera oublié en sortant de la salle de cinéma. ***
Ma critique
Le Cinéma du Parc présente toute la fin de semaine l'immense chef-d'oeuvre Solaris d'Andreï Tarkovski, sans doute la plus grande oeuvre de science-fiction de tous les temps (à égalité avec 2001). On ne se lasse pas de replonger dans cette aventure hors du commun, qui fait battre le coeur plus rapidement avec ses images somptueuses, ses mélodies légendaires, son rythme unique et son propos métaphysique. *****
Le Cinéma du Parc présente toute la fin de semaine l'immense chef-d'oeuvre Solaris d'Andreï Tarkovski, sans doute la plus grande oeuvre de science-fiction de tous les temps (à égalité avec 2001). On ne se lasse pas de replonger dans cette aventure hors du commun, qui fait battre le coeur plus rapidement avec ses images somptueuses, ses mélodies légendaires, son rythme unique et son propos métaphysique. *****
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