La violoniste Angèle Dubeau méritait certainement un documentaire. Sauf que Angèle en quatre temps que lui accorde Isabelle Depelteau n'est qu'à moitié concluant. Les informations pertinentes côtoient celles plus promotionnelles, alors que la forme aspire vers le cinéma sans jamais y arriver complètement. Au moins il y a cette musique, merveilleuse, qui donne son lot de frissons. **1/2
jeudi 11 juillet 2019
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