Réalisé à l'âge de 18 ans, Les drapeaux de papier fait preuve d'une belle maturité de la part de Nathan Ambrosioni, qui sonde les parts d'ombre et de lumière d'une relation frère-soeur dysfonctionnelle. Malgré quelques tics de mise en scène et un récit conventionnel, certaines séquences sensibles happent allègrement. Puis il y a le douloureux duo, qui offre des personnages complexes aux excellents Guillaume Gouix et Noémie Merlant. Une jolie découverte. ***
vendredi 5 juillet 2019
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