Il y a les bons films québécois à vocation populaire comme 1991. Puis il y a ceux qui sont mauvais et insipides, sabotant les rires presque à chaque fois. C'est le cas de Menteur d'Émile Gaudreault, une farce ambitieuse et inaboutie où les situations s'avèrent aussi répétitives que moribondes. Entre l'interprétation chargée (exception de l'agréable découverte Catherine Chabot), la mise en scène tape-à-l'oeil et un scénario qui verse dans le sentimentalisme de bas étage, il y a tout pour mettre la patience du spectateur à l'épreuve. **
mercredi 10 juillet 2019
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