C'est le jour tout indiqué pour se retaper Independence Day. Pas parce que c'est bon, mais pour se rappeler justement que le nanar peut être drôle et explosif. C'était l'époque où Roland Emmerich avait un certain talent pour les formes et l'expérience cinématographique, agrémentant son scénario à saveur écologique de trouvailles tellement clichées et pompeuses qu'elles en devenaient presque savoureuses. ***
jeudi 4 juillet 2019
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