On ne sait jamais à quoi s'attendre avec le cinéma du réalisateur canadien Bruce McDonald et c'est ce qui le rend si intéressant. Pour Dreamland, il combine action, gore, vampirisme, enlèvements de fillettes et plus encore au sein d'une quête parfois jouissive, qui relève du grand n'importe quoi. La première partie royalement inégale s'améliore constamment, jusqu'à une conclusion mouvementée qui s'assume finalement dans ses délires. Au sein de cet exercice brouillon et fécond triomphe l'acteur aguerri Stephen McHattie dans un double-rôle. **1/2
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