Série B dans la lignée de Saw (avec moins d'hémoglobine), Escape Room d'Adam Robitel livre généralement la marchandise, entre suspense mené tambour battant et tentative pseudo psychologique pour des survivants de remettre leur existence dans le droit chemin. L'interprétation a beau être inégale (hormis l'excellente Taylor Russell) et la conclusion décevante (ouverte pour une suite), cette relecture en demi-teinte du surprenant Cube sait amuser et divertir à ses heures. **1/2
mercredi 11 décembre 2019
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