Ce n'est pas parce que le livre a remporté un prix Pulitzer que son adaptation cinématographique tiendra la route. C'est le cas du film The Goldfinch de John Crawley. (Warner)
C'est quoi? Un garçon éploré par le décès de sa mère tente de trouver réconfort auprès des gens qui l'entourent alors qu'il passe de l'enfance à l'âge adulte.
Techniquement? Visuellement le long métrage est très léché et la qualité de l'image regorge de détails et de textures.
Suppléments? Cette édition comprend un blu-ray et une copie numérique. Les bonus réunissent 16 minutes de scènes supprimés avec des commentaires du cinéaste, ainsi que deux documentaires sur le tournage et les influences.
Au final? Le riche potentiel du roman est rapidement bafoué par une décision de surprendre constamment et de tenir en haleine, ce qui empêche ultimement d'explorer en profondeur le désarroi des âmes en place. Sans coeur ni âme, rien ne va. **
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