S'il y a un film qui a scandalisé les États-Unis par son érotisme latent, c'est bien Baby Doll (1956) de l'immense Tennesse Williams. À travers le destin de trois êtres névrosés, le scénariste décrit avec un virulent humour noir le climat malsain et vicieux de son époque. Elia Kazan s'occupe du reste, créant des images à la hauteur des mots, offrant au trio Carroll Baker, Karl Malden et Eli Wallach des rôles qui allaient les marquer à jamais. Présenté ce soir à la Cinémathèque québécoise. ****
mardi 10 décembre 2019
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