Jan Nemec frappe fort avec son premier long métrage Diamonds of the Night (1964), qui relate la fuite de deux jeunes hommes. Visuellement exquis dans la tradition de l'expressionnisme allemand, le film aux ellipses brillantes se veux une réflexion prenante sur la mémoire comme pouvait le faire Alain Resnais à ses débuts, envoûtant par son alternance de moments vibrants et d'autres beaucoup plus lancinants. De quoi vouloir aller se promener régulièrement dans ces bois hantés. ****
dimanche 29 décembre 2019
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire