Adapter Mishima n'est pas toujours une sinécure et Koreyoshi Kurahara l'a parfaitement compris avec Thirst for Love, utilisant ce matériel subversif - une veuve est coincée entre son beau-père et le jardinier - pour séparer ces êtres rongés et aliénés grâce à une mise en scène découpée au scalpel. Les sentiments se font déchiqueter au passage, ce qui offre quelques moments troublants. ***1/2
dimanche 12 juillet 2015
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