Oublions tout de suite l'horrible reprise du 21e siècle pour mieux apprécier la version de 1953 de House of Wax (qui est elle-même un remake d'un film des années 30...). Dans ce film morbide d'André de Toth, un artiste sculpteur tente de se venger des gens qui ont brûlé ses créations. Plus haletant que véritablement horrifiant, mis en scène avec soin bien que la mode du temps - le film était en 3D - se fasse ressentir, ce conte gothique vaut surtout pour la performance truculente de Vincent Price, qui campe un méchant qui ne s'y prend pas toujours bien pour se faire justice. ***
dimanche 5 juillet 2015
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire