Sexe, tabou, manipulation, domination, analyse des classes sociales: il y a tous les thèmes fétiches de Nagisa Oshima dans Pleasures of the Flesh, ce récit excessif et obsessif d'un homme qui a tué par amour et qui se retrouve avec une large somme d'argent qui ne lui appartient pas. Le suspense, qui s'apparente à un croisement entre Hitchcock et Bunuel, est particulièrement efficace et si le sujet sembles parfois filer des mains de son cinéaste, cela donne en contrepartie de nombreuses séquences surréelles, effrayantes et érotiques tout à la fois. ***1/2
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