Rappelant par moment l'inquiétant The Virgin Suicides, l'onirique Bridgend de Jeppe Ronde tente de percer le mystère d'une série de suicides d'adolescents. Avec son travail élaboré sur l'image et le son, ses immenses moments de poésie et quelques scènes qui glacent littéralement le sang, il s'agit du premier coup de coeur de la présente édition de Fantasia. Et certainement pas le dernier. ***1/2
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