C'est aujourd'hui que s'ouvre la 28e édition des Rendez-vous du cinéma québécois avec la présentation de La dernière fugue de Léa Pool. Au menu, des centaines de courts et des longs métrages, des ateliers, des conférences et même la venue à Montréal du fascinant cinéaste Bruno Dumont qui viendra présenter son nouveau film Hadewijch. Tout cela jusqu'au 27 février prochain avec Journal d'un coopérant de Robert Morin qui sera présenté en clôture.
Une seule question s'impose. Parmi toutes ces activités et l'hommage vibrant réservé à Gilles Carle, pourquoi il n'y a rien sur Pierre Falardeau? Malgré ses propos souvent cyniques, il s'agit d'un des réalisateurs les plus essentiels de la Belle Province, qui a offert son lot de titres nécessaires et inoubliables. Un vrai combattant - contesté bien entendu, à tort ou à raison - qui aurait au moins mérité une simple rétrospective, le moindre petit film programmé. Simplement par décence, par respect pour son oeuvre immense, inégale mais franchement importante.
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