Le cinéma de Drake Doremus (Like Crazy) est hanté par des couples qui se cherchent, de la solitude et la possibilité d'un bonheur soudain. Le tout entrecoupé de bonne musique et d'une mise en scène instinctive qui navigue allègrement dans les souvenirs et les sensations. Endings, Beginnings (2019) ne fait pas exception et si l'on retrouve tous ces éléments ainsi qu'une excellente Shailene Woodley en héroïne qui cherche à renaître de ses cendres, l'exercice affiche rapidement ses limites. Le style prend le dessus sur la substance, la trop longue durée de l'effort offre son lot de répétitions et de psychologies primaires, au détour d'une intrigue prévisible et superficielle. **1/2
jeudi 3 juin 2021
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