Censuré dans son pays d'origine, Better Days de Derek Tsang mélange le social - il s'agit d'un film sur l'intimidation des gens et des institutions - et la romance, ayant quelque chose d'important à dire, mais se perdant au sein de sa trop longue durée, de ses lourdeurs mélodramatiques et de son ton manipulateur où la quête de larmes semble être absolue. L'exquise Zhou Dongyu empêche toutefois le récit solidement réalisé d'irriter au plus haut point, comme ce fut le cas ces dernières années de 1:54. Au cinéma. **1/2
lundi 25 novembre 2019
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