Faussement naïf et amateur, Mon amie Pierrette de Jean Pierre Lefebvre présente un Québec à la croisée des chemins, qui hésite à s'ouvrir aux autres et à la modernité. D'une forme libre (le travail sur le montage et les ellipses est très intéressant) malgré un sentiment brouillon où l'improvisation prend un peu trop de place, le récit d'une simplicité déconcertante enchante par quelques moments d'une profonde poésie. On y fait la connaissance de la craquante Francine Mathieu et on redécouvre l'essentiel Raoul Duguay. ***1/2
mardi 14 mars 2017
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