Inspiré d'une histoire vraie, Iqbal, l'enfant qui n'avait pas peur de Michel Fuzellier et Babak Payami qui ressasse le destin tragique d'un garçon esclave est porté par une poésie lyrique qui contraste avec la dureté du sujet. Le dessin qui mélange 2D et 3D n'est peut-être pas toujours convaincant, mais il n’entache en rien l'intérêt éprouvé. Au FIFFEM. ***
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