Du 9 mars au 5 avril, la Cinémathèque québécoise propose un cycle dédié à la cinéaste Alanis Obomsawin, qui a consacré son art aux préoccupations autochtones. Cela commence ce soir avec Les événements de Restigouche, un documentaire sur un exemple flagrant de brutalité policière. Malgré la brièveté de l'essai et une forme un peu convenue (les voix hors-champs en français utilisées pour doubler les intervenants laissent grandement à désirer), l'effort demeure intéressant, surtout lorsque la réalisatrice confronte un ancien ministre qui y a joué un rôle important. ***
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