Entre un prix à Cannes et un Oscar, Cinéma Paradiso de Giuseppe Tornatore est l'exemple parfait du très bon film populaire, celui qui fait pleurer avec la musique au bon endroit (superbe trame sonore d'Ennio Morricone) et qui puise dans la nostalgie pour émouvoir encore davantage. Déjà qu'il traite de cinéma, du destin d'un jeune garçon et qu'il y a Philippe Noiret en vieux projectionniste, il y a tout pour passer un bon moment même si on sait perpétuellement qu'on est en train de se faire manipuler. Si le film se termine d'une façon magistrale, on regrette toutes les coupes de l'édition internationale, alors que la version du réalisateur est beaucoup plus longue et complète. ****
lundi 20 mars 2017
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