Au rayon des meilleurs mélodrames du septième art, on oublie trop souvent le magnifique All That Heaven Allows de Douglas Sirk. Entre récit kitsch et fresque incontestable, il n'y a parfois qu'un pas que franchit allègrement ce superbe récit qui raconte une histoire d'amour impossible entre une veuve d'une classe sociale aisée et un homme plus jeune qu'elle qui ne pense qu'à s'isoler dans la nature. Les leçons sociales, subtilement pénétrantes, offrent des dialogues acerbes et une finale faussement positive. On rajoute à cela une horde de métaphores, une photographie magnifiquement colorée et des interprètes au sommet de leur talent et on obtient un véritable classique du genre. ****1/2
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