Avant de dire au revoir à la présente année, pourquoi ne pas se plonger dans un des films les plus angoissants du septième art ? Horrifique, tourmenté, absurde et d'une cruauté sans nom, Jigoku de Nobuo Nakagawa commence lentement, avec un délit de fuite et une histoire de vengeance, avant de verser dans sa dernière demi-heure dans le délire le plus fou qui est possible et inimaginable. Pour une fois, il faut le voir pour le voir, et si les développements ne sont pas tous satisfaisants, il y a plusieurs images qui seront difficiles à oublier. ***1/2
mardi 30 décembre 2014
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